Les habitants qui signent la pétition demandent que :
• Une réunion avec les riverains soit mise en place afin d’envisager les meilleurs aménagements possibles de l’espace, le plus en amont possible du processus avec les différentes instances (riverains, commissions, associations, etc.)
• Le plan de mobilité de ce quartier soit établi en tenant compte des liens avec les autres voiries de la zone et surtout en anticipant l’arrivée de la station-service, de nouveaux commerces et des nouveaux habitants, tout en s'intégrant au plan de mobilité du reste du centre ville.
• Le bâtiment de l’ancienne gendarmerie (habitation, porche et écuries) soit préservé et mis en valeur.
• Que le développement de cette zone soit revu ou abandonné, car en concurrence avec le reste du centre ville,
plus d'informations: le powerpoint de la soirée d'information du 12 décembre, le texte des discussions
• Une réunion avec les riverains soit mise en place afin d’envisager les meilleurs aménagements possibles de l’espace, le plus en amont possible du processus avec les différentes instances (riverains, commissions, associations, etc.)
• Le plan de mobilité de ce quartier soit établi en tenant compte des liens avec les autres voiries de la zone et surtout en anticipant l’arrivée de la station-service, de nouveaux commerces et des nouveaux habitants, tout en s'intégrant au plan de mobilité du reste du centre ville.
• Le bâtiment de l’ancienne gendarmerie (habitation, porche et écuries) soit préservé et mis en valeur.
• Que le développement de cette zone soit revu ou abandonné, car en concurrence avec le reste du centre ville,
plus d'informations: le powerpoint de la soirée d'information du 12 décembre, le texte des discussions
Réunion citoyenne autour du Plan Communal d’Aménagement
RépondreSupprimern°4 ter dit de la « Gendarmerie »
Vendredi 12 décembre.
Le PCA dit de la « Gendarmerie » est en enquête publique jusqu’au 15 décembre à 9h30. Il sera présenté à la CCATM, le 8 janvier. On peut imaginer que les réactions peuvent arriver jusque cette date à l’administration communale. Toutefois, il est vivement recommandé de réagir par écrit avant le lundi 15 décembre à 9h30.
Les réactions doivent être envoyées à l’attention du Collège communal, Espace 2000, 3, 1470 Genappe info@genappe.be.
Les réactions doivent mentionner la date, nom, l’adresse postale et le mail de l’expéditeur.
Les réactions sont attendues soit lors de la clôture de l’enquête publique, le lundi 15 décembre à 9h30, soit par mail info@genappe.be avant ce moment-là.
La lecture des documents met en évidence de grosses lacunes dans le dossier tant sur le respect des principes du décret, que sur le fond et la forme du dossier:
- Un besoin d’actualisation des plans et textes du dossier conformément à l’intention du décret pour rendre lisible les intentions du PCA et de sa modification,
- Des problèmes au niveau de la mobilité qui ne sont absolument pas abordés dans le PCA,
- Un besoin de concertation avec les riverains qui n’ont pas été informés des intentions du projet et qui ne dispose que de très peu de temps pour se positionner sans disposer d’une information suffisante de la part de la commune,
- Un besoin d’articulation des différents plans à l’étude à Genappe : Schéma de structure , Plan communal de mobilité,
- L’absence d’implication de la CCATM, de la commission de rénovation urbaine, de l’association des commerçants, commission de circulation… Une partie des plans contiennent des manques qui induisent la lecture en erreur ceux-ci doivent être corrigés, les aménagements proposés ne comblent pas le manque d’espace vert de la zone.
En matière de mobilité, les riverains demandent :
RépondreSupprimer- De vérifier la circulation au niveau du rond-point (dit de Colruyt) sachant que la pompe à essence va attirer beaucoup de clients pressés à toutes heures de la journée ou de la nuit. Et qu’il risque de traverser le parking du Colruyt sans prendre attention au client de ce commerce lorsqu’ils rentrent par le nord du site (entrée Colruyt à partir de la chaussée.
- Vérifier le caractère réaliste de la circulation au niveau de la station-service, sachant qu’elle devra absorber les clients du magasin (entrant et sortant) et les clients de la station-service (entrant-sortant) avec la possibilité de bouchon et de file d’attente pour accéder à la pompe qui pratique des prix généralement bas sur ce marché.
- De vérifier et de prévoir un passage sécurisé pour les piétons au niveau du croisement de la rue de Glabais et de la rue des Lilas, là où arriverait (ou partirait ?) l’accès à double bande du parking souterrain des futures constructions sur les terrains de l’ancienne gendarmerie. D’autres entrées pour l’accès en sous-terrain semblent plus que possibles.
- La mise à sens unique de la rue des Lilas où la circulation est déjà difficile alors que de nouveaux commerces pourraient s’y installer. Mise en sens unique de la rue des Lilas, ce qui réduit les problèmes de visibilité et améliore la sécurité générale du PCA
- Le renforcement de la mise en circulation locale et de la mise à sens unique de la rue Louis Lalieux par une déviation obligatoire de la circulation vers la plaine communale (l’arrivée d’une station-service va renforcer la circulation dans cette rue étroite ou le stationnement est autorisé à gauche et à droite).
- Mise à sens unique de la rue de Bruxelles à partir du magasin Pirard vers l’accès à la RN5 et confirmation du caractère « circulation locale » de cette voirie.
- Définir le plan de mobilité du quartier (inexistant dans le dossier) indispensable vu l’arrivée probable de nouveaux habitants, de nouveaux commerces et d’une station-service de marque économique qui attirera outre les clients du grand magasin, mais aussi les habitants du quartier et tous les véhicules qui fréquentent la RN5. Mettre en lien ce plan de mobilité de quartier avec le Plan Communal de Mobilité actuellement à l’étude.
Concernant le bâtiment de la gendarmerie, il fait partie du patrimoine local , une mise en valeur du bâtiment pourrait créer un effet de porte à l’entrée du centre-ville et du périmètre de la rénovation urbaine. Son bâtiment complet c’est à dire le bâtiment principal, le porche et les écuries, doit être préservé.
La phrase page 11 (à l’exception des anciennes écuries peu en rapport avec les gabarits contigus et du mur de clôture) doit être retirée du document « option planologique ». La photo ci-dessus démontre le contraire, par contre l’angle de ce croisement de voirie peut être aménagé de façon à sécuriser le cheminement des usagers faibles. La présence d’un bâtiment (écurie) de plus petite taille laissant apparaître le bâtiment principal crée un effet de perspective des plus intéressant. La rénovation du bâtiment même partielle devrait améliorer l’image de l’entre de la ville.
Concernant les commerces, il est indispensable pour ne pas de nouveau porter atteinte aux commerces du centre-ville de ne pas prévoir de commerce de proximité, éventuellement des bureaux ou des professions libérales et mieux encore des logements.
RépondreSupprimerConcernant les logements, il faut déplorer que ces terrains publics (propriétés de la Ville de Genappe, actuellement en procédure d’aliénation et dont le compromis de vente est signé) ne soient pas consacrés à du logement public qui répondraient nettement aux besoins de la population locale : les jeunes de notre commune ne trouvent plus de logement à des prix raisonnables. Ne pas profiter de cette opportunité est déplorable si on sait que la commune de Genappe avec ses 3.8% de logements publics est loin des 10% requis en Région wallonne. Les terrains étant publics, il est au minimum envisageable d’intégrer au projet en charge d’urbanisme 10 à 20% de logement public. Néanmoins sur les parcelles publiques un projet 100/100 public est possible dans le cas d’un PPP avec un promoteur, un marché public pourrait être passé en ce sens.
La commune ne privilégiant la vente à un promoteur privé sans charge d’urbanisme importante réalise à court terme une recette, mais se priver en même temps d’un potentiel immobilier qui doit pouvoir prioritairement servir l’intérêt général.
Concernant les constructions envisagées, il faut limiter la hauteur des nouvelles constructions envisagées à la hauteur moyenne du bâtiment « Eldi » installé de l’autre côté de la rue des Lilas. Les riverains craignent de perdre tout ensoleillement dans leur propriété et demandent que l’auteur de projet fournisse une étude d’ensoleillement au niveau des propriétés envisagées rue des Lilas.
Concernant les espaces verts, les riverains déplorent que le seul espace vert soit transformé en station-service et demande qu’une réflexion soit menée afin de pallier cette disparition. La seul proposition de 1 arbre tous les 8 emplacements de parking démontre le manque de considération pour la création d’un espacer public de qualité.
Des alternatives peuvent être imaginées afin de préserver le patrimoine, les espaces verts, l’ensoleillement des propriétés, les espaces de parking partagés … Pour ce faire, une réelle concertation (réunions d’échange et d’étude des options réaliste à envisager) est à mettre en place le plus en amont possible du processus. Il est possible d’implanter la station-service de l’autre côté de la RN 5 (au niveau de la ZACC) emplacement nettement plus logique si on sait qu’il n’y a pas de station-service dans ce sens de circulation à 6 km en amont ou en aval.
RépondreSupprimerAutre remarque :
Le texte de la délibération du conseil communal du 28 octobre dernier, en page 3, au niveau de la décision, article 1, 4ème «-» est quelque peu ambigu : « - de préciser pour la zone 50.3 que me bâtiment existant (annexe de l’ancienne gendarmerie) est maintenu ; que son affectation reste inchangée ; qu’il n’y a dès lors pas de création d’espaces publics à cet endroit ; qu’au cas où ce bâtiment viendrait à disparaître, la zone 50.3 deviendrait un espace public »
Quelle est l’intention réelle, supprimer ce bâtiment ce que laisse présager le plan de destination, et la création d’une rampe d’accès au parking souterrain prévu sur les plans et documents. De plus cette servitude est cédée à titre gratuit au promoteur. Sans contrepartie, ce qui lui offre la possibilité de proposer ensuite sur cette parcelle un bâtiment pour poursuivre la construction de l’ensemble de la rue. Ce qui nécessiterait une nouvelle modification du PCA.
Le PCA initial prévoyait le développement de commerce, d’artisanat et de logement, on constata l’absence d’activité artisanale. Le risque de créer des commerces de proximité en concurrence avec les quelques commerces du centre de la ville qui peinent déjà à se maintenir.
Expropriation
La présence dans la document de l’ancien plan d’expropriation à fait renaitre le risque d’une expropriation chez les riverains concernés. Le PCA ne prévoit pas de nouvelle expropriation, mais cette option reste possible dans une étape ultérieure, ce qui ne permet pas à certain de se positionner favorablement, car aucun dialogue n’a été établi avec les propriétaires. Une concertation globale et ouverte est d’autant plus souhaitée pour lever les craintes légitimes de ceux-ci.
Autres alternatives possibles:
- construction sur les parkings via bâtiment sur piloti
- étude liée à l’aménagement du PCA du Parking Beghin dit de la plaine
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