En résumé, si le lisier n’est plus épandu et qu’il est valorisé dans une unité de biomathanisation, le résidu utilisé par l’agriculture est inodore et l’ensemble des sousproduits sont moins polluants que les engrais chimiques traditionnels.
Selon nous, en intégrant cette unité de production dans la sucrerie de Genappe et en impliquant le tissu agricole local, cette proposition rejoindra les préoccupations des intervenants et l’intérêt général.
Télécharger le compte-rendu du dossier de la porcherie.
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